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Histoire de la commune
À la révolution française, par décret du 11 novembre 1793, précisant les limites du département de la Haute-Loire, Malvalette a été rattachée à Bas de même que Tiranges et Valprivas. Malvalette forma donc une section de Bas, bien avant d'obtenir son autonomie administrative. Cette décision a fait l'objet de nombreuses réclamations de la part des habitants. N'oublions pas que l'église pesait de tout son poids dans les décisions administratives, et la paroisse mère marqua son opposition à la demande d'autonomie. Mais la population, avec à sa tête une femme volontaire et intrépide, Mme Peyvel dîte la Vidale, simple paysanne, multiplia les démarches.
Elle plaida "la cause" devant les autorités civiles et ecclésiastiques. Grâce à ses démarches persévérantes, elle obtint le 10 mars 1821, à la grande satisfaction des habitants, une ordonnance de Louis XVIII, créant la paroisse de Malvalette.
La commune suivra, quelques décennies plus tard, le 28 novembre 1851, avec l'éclatement de la commune de Bas en 3 communes : Bas-en-Basset, Malvalette et Valprivas ! La Vidale, décédée en 1839, ne sera plus là pour voir son fils Marcellin Peyvel passer l'écharpe de Maire.
La population qui atteignait 1260 habitants en 1866, ne cessa de décroitre ensuite, sous l’effet de l’exode rural, jusqu’en 1968 où elle atteint son plus bas niveau avec 257 habitants. Depuis la population est repartie à la hausse, surtout depuis les années 1990, avec l'arrivée de nouveaux habitants à la recherche d'un cadre de vie de qualité.
Elle plaida "la cause" devant les autorités civiles et ecclésiastiques. Grâce à ses démarches persévérantes, elle obtint le 10 mars 1821, à la grande satisfaction des habitants, une ordonnance de Louis XVIII, créant la paroisse de Malvalette.
La commune suivra, quelques décennies plus tard, le 28 novembre 1851, avec l'éclatement de la commune de Bas en 3 communes : Bas-en-Basset, Malvalette et Valprivas ! La Vidale, décédée en 1839, ne sera plus là pour voir son fils Marcellin Peyvel passer l'écharpe de Maire.
La population qui atteignait 1260 habitants en 1866, ne cessa de décroitre ensuite, sous l’effet de l’exode rural, jusqu’en 1968 où elle atteint son plus bas niveau avec 257 habitants. Depuis la population est repartie à la hausse, surtout depuis les années 1990, avec l'arrivée de nouveaux habitants à la recherche d'un cadre de vie de qualité.